La profonde route de l'ennui
Transcendant l'homme dans l'oubli
Celui de lui même, plus jamais il ne s'aime
Traîne son esprit dans mille contrées
Toutes sans rapport aux sens éloignés
Métaphysique de son existence
Qu'il vit comme une pénitence
La mort de ne l’effraie plus
Aujourd'hui il sait
Qu'elle ne sera jamais vaincue
Alors il chemine sans cheminée
Fulmine malignement sur le pavé
Une clope au bec, les poches à secs
Jouant à chat pour tenter de l’éviter
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