31.7.11

La bataille


17 novembre, le noir de ma nuit
Épais qu’il était, un tranchant d’épée
Brouillard dense qui danse en mouvance
Un surplus de gouache qui s’étale en tache
C’est la mort qui l’a prit en balafrant ma vie


C’est une cicatrice d’amour noircie par Gabriel
Archange n’approche pas de mes phalanges
Ou je broierai tes os de mes oripeaux
J’ai le blues d’un noyé, et le sel d’insomnie
Ovni effrayé qu’il croit avoir surprit

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire