28.7.11

La nuit

Ai je mérité cette âme
Comme je hais cette femme
Dont la vague me possédant
Me fait chialer de toute mes dents

Il reste tant de temps Monsieur
Pour la liberté aux cieux
Coupable,condamné, le sursis est finit
Pour l'éternité, d'en bas jusqu'ici


Écrit avec hâte à l'encre de rate

Je raye le papier, de mes nuits, il est roi
Entre les substances et le broyage du «moi»

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